Luc 14:1,7-14 AELF
1Un jour de sabbat, Jésus était entré dans la maison d’un chef des pharisiens pour y prendre son repas, et ces derniers l’observaient.
7Jésus dit une parabole aux invités lorsqu’il remarqua comment ils choisissaient les premières places, et il leur dit : 8 » Quand quelqu’un t’invite à des noces, ne va pas t’installer à la première place, de peur qu’il ait invité un autre plus considéré que toi. 9Alors, celui qui vous a invités, toi et lui, viendra te dire : “Cède-lui ta place” ; et, à ce moment, tu iras, plein de honte, prendre la dernière place. 10Au contraire, quand tu es invité, va te mettre à la dernière place. Alors, quand viendra celui qui t’a invité, il te dira : “Mon ami, avance plus haut”, et ce sera pour toi un honneur aux yeux de tous ceux qui seront à la table avec toi. 11 En effet, quiconque s’élève sera abaissé ; et qui s’abaisse sera élevé. »
12 Jésus disait aussi à celui qui l’avait invité : « Quand tu donnes un déjeuner ou un dîner, n’invite pas tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni de riches voisins ; sinon, eux aussi te rendraient l’invitation et ce serait pour toi un don en retour. 13 Au contraire, quand tu donnes une réception, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles ; 14 heureux seras-tu, parce qu’ils n’ont rien à te donner en retour : cela te sera rendu à la résurrection des justes. »
“Copyright © 2021 National Council of Churches of Christ in the United States of America. Used by permission. All rights reserved worldwide.”
Réflexion on Luc 14:1,7-14 AELF
Méditation - 2025-08-31 Prière du jour
Le plus grand d’entre vous doit être le serviteur de tous. « Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi, mais pour servir et donner sa vie en rançon pour beaucoup ». Est-ce que je cherche à être honoré par les gens plutôt que par Dieu ? Les opinions des gens à notre sujet seront toujours variées et, en fin de compte, elles n’ont tout simplement pas d’importance.
Seigneur, apprenez-moi à être généreux, à donner sans compter, à me battre sans me soucier des blessures, à travailler sans chercher d’autre récompense que celle de savoir que je fais votre volonté » (saint Ignace).